Cendrillon d'un jour

Sujet: Cendrillon d'un jour Dim 18 Nov 2018 - 22:27

Cendrillon d'un jour

Rose Madder était quasiment blanche. Sa robe s’était tant éclairée qu’elle avait décidé de fêter ça en se rendant dans les Braises Eternelles, qu’elle n’avait jamais vraiment visitées. Rosie traversa donc la plaine encore enfumée par les restes de cendres qui grignotaient encore les troncs d’arbres calcinés et teinta peu à peu sa robe d’une teinte grisonnante qui lui aurait valu le nom de Cendrillon si elle avait plus souvent eu des tendances de souillon. C’était peut-être bien la première et dernière fois cependant et elle s’arrêta devant un immense tas de cendre en tordant le cou pour en voir le sommet, intriguée.

“ Qu’est-ce que c’est ? Aucun arbre ne peut être assez gros pour laisser un tas pareil… si ? pensa-t-elle tout haut. ”

Libre:

ÂGE : 33 PUF : lalie MESSAGES : 24 SEXE DU CHEVAL : Male

On ne se mentira pas, sa première rencontre, la première impression sur Horse-Wild ne fût pas loin d'un désastre. Quand j'ai ramené ce petit cheval de guerre dans le vrai monde, pas celui dans lequel il croyait à jour j'avais espoir que rapidement il apprenne à vivre dans notre époque, qu'il apprendrait rapidement la langue de Molière ainsi que nos coutumes. Pas de chance, la barrière linguistique celle entre les deux mondes est un énorme fausset et celle-ci à rapidement fait monter le ton. Pardonnez-moi l'expression au goût douteux, mais les deux équidé ont rapidement monté sur leur grand chevaux et nous avons eu droit à un crêpage de chignon. Pourquoi? Parce que Brod à gentiment voulut mettre en Garde Toumaï d'un danger éminent et que celui-ci n'a rien comprit.

Bref cette première rencontre n'a servi à rien sauf ternir le caractère pimenté du petit cheval isabelle.

Aucunement découragé, ni menacé par sa précédente rencontre Toumaï continua son ascension dans le monde mystérieux de cette île. Et il en apprenait probablement plus par lui-même jusqu'à présent qu'avec le cheval Moustachu. L'Île était rempli de surprise, le petit étalon avait connu des hivers glacials et des étés plus ou moins chauds, mais ici l'aire était chaude une brume flottant dans l'air se collait sa peau tout en créant une couverture chaude, le sol était couvert d'une épaisse couche de poussière grisâtre volatiles et par moment était rougeoyant. Jamais il n'avait vu d'endroit semblable à celui-ci.

Le petit cheval baissa la tête les sourcils froncés son regard suivant les scintillements de la braise il n'était pas moins attiré par cette matière qu'un poulain ne l'aurait été lui-même. L'isabelle s'approcha un peu plus et du bout des naseaux vint poussé un morceau. Il y eut un certain temps entre la brûlure extrême qu'elle lui occasionna aux naseaux et son temps de réaction. Toumaï se mit à galoper dans tous les sens à la recherche d'une source d'eau, passa à toute vitesse entre un tas de cendre grisâtre immense et un autre cheval tout aussi gris.

''Chaud, chaud, chaud...''

Mais Naëlle cherchait quelque chose ici, songea soudain Rosie. Une forêt de… de… de quelque chose. Une forêt, cependant ! Donc peut-être était-ce ce qu'il restait de cette forêt. Ou bien il existait réellement des arbres si grands qu’ils laissaient derrière eux des monticules de cendre quand ils brûlaient.

Sceptique, elle était plongée dans ses réflexions quand un équidé passa à toute vitesse entre elle et son objet d’étude. Sa galopade effrénée et effrayée souleva un nuage de cendre qui recouvrit Rose Madder de la tête aux sabots et elle poussa un hurlement indigné en faisant vote-face pour suivre l’inconnu des yeux.

“ ATTENTION ! Regardez ce que vous avez fait et regardez où vous allez, bon sang ! ”

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Il venait tout juste de passé entre la pouliche grise et son tas de cendre toujours dans sa course folle lorsque le petit du petit cheval de przewalski s’enfonçât de quelques centimètres dans un splash bien caractéristique d’une flaque d’eau. Il s’arrêtât brusquement, elle était recouverte d’une épaisse couche de centre, n’était probablement pas plus fraîche que l’air mais au combien plus que son bout de naseaux. Il y plongea le nez jusqu’au fond sans y réfléchir, quitte à faire quelque bulles dans l’eau trouble.

Ce n’est qu’une fois qu’il entendit la voix stridente s’éleva qu’il prit conscience qu’il n’était pas seule, une voix aux mots incompréhensibles, encore une fois. La douleur s’était calmé l’isabelle releva la tête pouvait respirer normalement de nouveau et se retourna. Une énorme cloque causé par la brûlure déformait le bout de ses naseaux et le tendait d’un ton rouge-rose. Le petit étalon ni fit pas attention s’était plutôt l’étrange cheval devant lui qui attirait toutes celle-ci. C’était une jument l’odeur féminine ne mentait pas, mais elle avait rien à voir avec le type qu’il avait toujours connu s, encore un autre cheval étrange au langage tout aussi bizarre. Oh elle n’avait rien à voir non plus avec le premier cheval qu’il avait rencontré sur Horse-Wild. Lui était énorme un étrange mélange entre un tas de muscle et de poils… Elle était… Bien que plus grande que lui petite une ossature délicate, une tête plus délicate que Toumaï mais bon lui il à la grosse tête.

Toumaï pencha sa grosse tête sur le côté, il commençait probablement à comprendre qu’ici c’était peut-être lui le cheval bizarre. Ce monde semblait être quelque peu plus diversifié que le sien. C’était pratique n’empêche pensait-il qu’elle bon moyen de différentier facilement une jument d’un étalon si ce n’est que se fier à son odorat.

‘Toumaï’’ se contenta-t-il de dire la performance vocal qu’il venait d’entendre lui laissait croire qu’il n’avait pas besoin de décortiquer son nom comme il l’avait fait précédemment et il évita d’ajouter plus de contenue à sa discussion, ça n’aurait servi à rien … elle n’aurait rien compris.

Sujet: Re: Cendrillon d'un jour Jeu 3 Jan 2019 - 22:30

Rosie avait affaire à un barbare. Elle s’en doutait un petit peu, à vrai dire, quand il était passé en trombe et l’avait recouverte d’une épaisse couche de cendres mais à présent, elle en était certaine. L’individu avait plongé ses naseaux dans une flaque d’eau défraîchie et probablement croupie et en ressortait avec une cloquée badigeonné de la mixture odorante contenue par la flaque. Cela n’inspirait pas confiance à Maddie qui recula d’un pas à la vue de ce bout de chair rose et gonflé.

Il était rustique et elle s’en méfia d’autant plus quand il se présenta avec un air constipé, comme s’il faisait face à un phénomène étrange qu’il s’avérait incapable de comprendre. La jeune jument grise pinça des lèvres, hésita et finit par se décider : elle répéterait ses reproches. Elle ne savait pas trop ce qu’il avait voulu dire, « tout m’aille ? » c’était étrange aussi n’était-elle pas certaine de ce dont il s’agissait. Des excuses ? Une insulte ?

“ Ça veut dire quoi, Toumaï ? demanda-t-elle, suspicieuse. J’espère que c’est des excuses que vous me présentez. ”

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Si lui se contentait de parler peu, elle n’en fit pas autant. En plus, Elle parlait quand même assez vites cela n’aidait guère Toumaï à mieux la comprendre. Encore une fois, il semblerait que ce soit le seul à s’être présenté, à première vue, l’hybride du coin ne semblait pas posséder de nom.

Le petit étalon prononça quelques mots dans sa langue en optant pour une posture neutre essayant que l’histoire de la banquise ne se répète pas une seconde fois un peu dur en fait de brisé la glace quand nous somme sur des cendres, mais enfin bon. Puis Répéta certains mots qu’il avait entendu de la bouche de la jument grise.

« Veudire …excuse ». La chance du débutant peut-être car les mots étaient bien choisi pour détendre la situation. La jument grise semblait parler la même langue que le gros, mais à cet instant l’isabelle n’avait pas pris le temps d’évaluer sa langue.
Il s’approcha un peu de la jument grise et pointa l’horizon de ses naseaux surplombé de sa phlyctène peu ragoutante.

« Où sommes-nous? » dit-il dans sa langue même s’il se doutait que la conversation ne mènerai à rien.

Sujet: Re: Cendrillon d'un jour Jeu 17 Jan 2019 - 23:19

L’étalon semblait adopter, tant bien que mal, une posture qui ne se voulait pas menaçante. Rose Madder l’œilla avec dédain et retint un commentaire. Il n’avait pas l’air très futé et lui faire remarquer qu’elle voyait très bien ce qu’il essayait de faire promettait un débat stérile dont elle se passerait bien. La conversation elle-même avait déjà bien du mal à s’effectuer…

Il finit par s’excuser et elle hocha vivement la tête pour lui signifier qu’il avait bien fait. Peut-être n’était-il pas si bête. A vrai dire, Rosie réalisait peu à peu que l’inconnu était différent d’elle et probablement pas originaire de l’île. Elle avait même la sensation qu’il venait d’un autre monde et se demanda si c’était possible avant de décréter qu’il méritait bien un peu d’aide.

Elle suivit ses mouvements des yeux et déduisit la question qu’il posait dans son discours. S’il n’était pas d’ici, il ne savait sûrement pas où il était. Maddie ignora les accents gutturaux de la langue qu’elle ne connaissait pas et s’approcha de quelques braises qu’elle désigna d’un sabot gracieux en tâchant de s’exprimer clairement pour se faire comprendre.

“ Braises Eternelles. Ici. elle frappa deux fois le sol pour signifier qu’il s’agissait du lieu où il se trouvait. Ile, Horse-Wild. et elle lança un regard aux alentours. Moi Rosie. Toi ? elle les pointa successivement du sabot. ”

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Les gestes de la jument avaient le mérite d’être claire. Le petit étalon avait donc une petite chance de comprendre un peu plus. Un coup de sabot dans les braises l’étalon recula rapidement de peur qu’elle ne se brûle le sabot comme il avait brûlé le bout de ses naseaux. C’est donc les yeux grands ouverts et les naseaux dilaté qu’il répéta.

« Braise… Ethernelle, aie » (prononcé avec une certaine hésitation dans la prononciation et un petit accent car c’est mignon les accents !)Le petit cheval quitta sa posture de cheval effrayé.

Elle effectua alors presque le même geste que lui précédemment Ile, Horse-Wild les yeux du petit cheval pétillait avait-elle vraiment comprise ce qu’il avait dit tenté de dire du moins ça en avait tout l’aire et cette langue Horse-Wild elle lui rappelait quelques choses. Peut-être celle des hommes.
Toumaï hocha de la tête négativement elle s’était pointé Moi Rosie, puis l’avait pointé, Toi. Non pas Toi aurait-il voulu dire je ne m’appelle pas Toi, je suis Toumaï. Il se pointa alors,

« Toumaï » Puis la pointa du sabot un grand sourire dévoilant son âge à la jeune jument. « Moi Rosie »

Toumaï se laissa impressionner par les braises sous le regard rieur de la jeune jument cendrée par la force des choses. Elle rit de son accent qui n’enlevait rien à son exclamation de douleur et y ajoutait peut-être même un peu, car ne pas parler la langue ne facilitait pas la vie et promettait de grandes souffrances en communication.

L’individu n’avait en plus pas la chance de comprendre les choses facilement et Rosie plissa les yeux, le regard noir. Son sourire édenté aurait pu la laisser croire qu’il était un peu sourd, s’il n’avait pas bien entendu ce qu’elle disait et rien compris. Les oreilles en arrières, Maddie répéta impatiemment les présentations.

“ Toi (elle le désigna d’un geste brusque). Moi (elle se désigna d’un geste gracieux). Toumaï, répéta-t-elle en le désignant encore. Rosie, insista-t-elle en se montrant à nouveau. ”

Décidant qu’elle ne perdrait pas plus de temps, elle jetant un dernier regard au tas de cendres avant de tourner les talons pour se diriger vers l’est et les Terres Libres. Elle ne retournerait pas sur les Terres Orphelines de si tôt. Marchant d’un bon pas, elle daigna à jouer les guides touristiques pour l’étranger, pointant l’horizon des naseaux.

“ Là-bas, Terres Libres. ”

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La discussion coupa court sur les présentations il en était peut être mieux ainsi entre les moi et les toi Toumaï n’aurait probablement pas su dire qu’il devait de présenté en moi ou en toi. Et visiblement, la jument n’avait pas envie de s’éterniser sur de telles subtilités. Elle tourna talon le petit cheval cru une fraction de seconde elle partait le laissant là tel une vulgaire chaussette il n’en aurait pas été offusqué sa vie aurait continué de son côté avec quelques valise de plus dans ses connaissance.

Mais non il l’entendit parler qui pointait en même temps l’horizon voulait-elle dire que au loin il s’agissait d’un lieu nommée terre libre ou que l’horizon s’appelait terre libre. Tant de chose à apprendre sans rien y comprendre. Elle l'invitait ainsi à le suivre le petit étalon ne se fit pas prier il n,avait rien à y perdre après tout. Toumaï se contenta d’hoché la tête en suivant la jument grise. Puis il pointa sa crinière c’était quelques choses de futil mais aussi facile à comprendre s’était quelque chose de palpable facile d’accès pas trop vague juste ce qu'il valait pour ne pas lui faire perdre patience. Sa crinière était bien longue contrairement à lui, mais plus courte que le moustachu rencontré plus tôt c'était une des chose qui l'intriguait le plus cheval les chevaux de se pays étrange nommé Horse-wild.

Toumaï continuait sa marche en compagnie de la jeune dame. Tout en pointant tout ce qui lui passait sous les yeux.

hors Rp:

Le nouveau venu écoutait Rosie avec déférence aussi se baigna-t-elle dans l’attention qu’il lui accordait. Elle lui indiqua les directions utiles et les lieux d’intérêt qu’ils croisèrent sur leur route et quand vint le temps de se séparer, elle ne put ignorer le sentiment agréable bien qu’étranger, d’avoir fait une bonne action.

FIN.

» Hoykä, Trompeuse un jour, Trompeuse toujours.