Arowhiln

Nom — Arowhiln 
Race — Hanovrien
Robe — Noir
Sexe — Mâle 
Âge — 9ans

Sa psychologie

C'est un étalon assez chaleureux et doux en règle général. Il n'hésitera pas à aider si cela s'avère nécessaire. C'est valeureux guerrier qui ne se bat que si cela est obligatoire. Il préfèrera se taire que d'entrer en conflit. Mais attention! Si vous lui cherchez des noises, il n'hésitera pas à attaquer, surtout verbalement. Il peut être cruel, méchant, injuste et froid dans ses paroles. Il manque souvent de tact et dit les choses platement. Il pardonne difficilement et est exigent. Il n'oubliera rien de ce qui a été dit ou fait. Mais quand il aime en amour ou en amitié, c'est pour la vie. Il pardonnera tout ou presque. Bref, il est assez complexe mais il mérite qu'on s'accroche pour le connaître

Son Passé

J'ai eu une vie plus que classique. Je suis né dans un élevage en Allemagne. J'ai grandi auprès de ma mère puis ai été pucé. Je n'ai pas connu mon père. Il provenait d'ailleurs. J'ai passé ma vie entre box et vert pâturage. J'ai eu la chance de grandir en troupeau. J'avais des amis, une famille. Petit à petit, on me présentait des choses nouvelles pour je cite: "faire de moi un bon cheval". J'ai toujours montré de l'intérêt pour tout ça. Viens alors l'âge du débourrage. J'ai été un grand et fort cheval depuis tout bébé. J'ai montré quelques réticence à être monté. Je faisais régulièrement tombé mes cavaliers. Mes éleveurs en étaient dépités. Comment me vendre comme cheval de compétition si je fais tombé les gens... Arrive alors mes 5 ans, une jeune fille toute frêle s'approcha de moi. Ses yeux étaient admiratifs et pleins d'espoir. Elle posa sa main sur mes naseaux, je ronflais de plaisir. Elle semble si gentille. Je les entendais parler. Vente, pas commode, je veux, etc. Je ne comprenais rien. Je ne voyais qu'une chose: aller rejoindre les copains au pré. Mais ce ne fut pas le cas. Mon licol fut attaché 3 heures plus tard. On me fit grimper dans un van et je quittais ma terre natale. Mais où est-ce que l'on m'en menait. Je mâchouillais distraitement mon foin. Une fois  arrivé, j'entendis une douce voix ouvrir la porte. La jeune fille! Elle s'approcha de moi et me murmura à l'oreille : nous allons être amis. Ou étais-je?! J'hennissait après mes copains. Ce sont des chevaux inconnus qui m'ont répondu. J'ai paniqué. J'ai tiré sur la longe et j'ai fait tombé la frêle jeune fille à mes pieds. Surpris et peiné de l'entendre couiné de douleur, je me stoppa dans mon élan. Ma tête se baissa et la renifla. Elle avait l'odeur âcre du sang. Je l'avais blessé! J'avoue que je m'en suis voulu. Comment ai-je pu faire souffrir quelqu'un? Je ne l'ai même pas senti au bout de la corde... Ses parents sont arrivés, horrifié. Ils criaient que j'étais dangereux mais la jeune fille tenait bon. J'étais son cheval et rien d'autre. Elle me lâcha dans un pré ou je me défoula largement. Des juments étaient en chaleurs. Je faisaient mon beau. Mon sang ne faisait qu'un tour et mes hormones me brulaient le sang. L'envie de me reproduire et de les faire mienne était puissante.  Je roulais des mécaniques et les juments en redemandaient. Oh oui, je les voulais et elles me voulaient  puis... J'ai été coupé dans mon élan. Une main puissante l'attrapa et me tira loin des juments en marmonnant que je n'aurai jamais dû rester entier, que le manège courait à sa perte. Enfin, je voulais déversé mes hormones moi et on m'enfermant dans un box de 5x5. Je tourna tachant de me calmer. Puis la jeune fille apparu et de sa voix apaisante me calma. Pendant 4 ans, ce petit numéro dura. On fit beaucoup d'étiologie et d'obstacle. Je lui permis de gagner plusieurs concours. J'ai eu plusieurs poulains, souvent à l'insu de leur propriétaires. Je sautait par dessus les clôtures et prenaient bien souvent mon sabot. Les juments en redemandaient. J'étais un bon amant disaient-elles. Tout le monde trouvait son compte, enfin presque.  Mais un malheur finit toujours par arriver. Au l'aube de son vingtième anniversaire, elle décida de partir à cru avec juste une corde en balade. Nous l'avions déjà fait, j'était bien plus calme. On partit dans la brume en automne. Il faisait froid et j'était nerveux. La forêt sentait la mort. Cependant, je ne bougais pas. Je faisais attention à ma cavlière qui m'a sauvé de bien des ennuis. Le brume devient épaisse. J'entendis un coup de feu puis deux puis trois. Ma cavalière chuta et une branche me tomba sur la croupe. Je détalla au galop sur plusieurs centaines de mètres. Quand je reviens sur mes pas voir ou était ma cavalière, un attroupement d'homme puant la mort s'y trouvait. Je n'approcha pas. Je compris qu'elle n'était plus de ce monde. Du sang coulait sous elle. Je fis demi tour et partit sans jamais me retourner. J'ai airé longtemps avant d'arriver ici, la mort dans l'âme... Voici donc mon histoire